Ces trois principes signifient que l'aide apportée se base sur la non-discrimination, la protection contre les effets des hostilités et la limitation et interdiction relatives à certaines armes.

Grâce à H. Dunant et à son aide apportée sur le champ de bataille à Solferino, le Comité international de la Croix-Rouge a vu le jour à Genève pour venir en aide aux victimes de la guerre.

Un réfugié est obligé de fuir son pays à cause de la guerre, de persécutions ou encore à cause de ses opinions politiques et il demande la protection du pays d'accueil. Alors qu'un migrant choisit de quitter son pays et peut y retourner quand il le désire.

Cette Convention vient en aide aux victimes de la guerre, sur le champ de bataille et marque le début de l'action de la Croix-Rouge.

Ces enfants sont enlevés et obligés de combattre lors de guerres. Beaucoup d'entre eux ne sont jamais aller à l'école, ils sont très influençables et ne remettent pas en question les ordres.

Ce Bureau créé en 1991 permet d'apporter une aide humanitaire efficace grâce à la répartition des tâches de chaque entité (organisations internationales, ONG, États...).

Les conflits armés touchent aussi le patrimoine culturel, c'est pourquoi ce bouclier permet de protéger ce patrimoine en cas de guerres ou de catastrophes naturelles.

Toutes les sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge sont regroupées pour alléger les souffrances des populations, préserver des vies, sans aucune discrimination, dans le respect de la dignité.

Ces armes, enfouies sous terre et qui explosent lorsqu'on marche dessus, sont considérées comme des armes provoquant le plus victimes car elles touchent également les civils et peuvent encore exploser après la guerre.

Les réfugiés, après avoir fui leur pays, sont accueillis dans ces camps temporaires et reçoivent une aide en soins, nourriture, administration etc., avant de trouver une solution pour leur futur (un pays qui peut les accueillir par exemple).